giovedì 20 dicembre 2012

“Io sono fuori di testa Blake, lo sanno tutti. Ho tutti i vizi, quello che dice la gente di me è tutto vero, mi drogo e bevo come una spugna. Sono una da buttare via, non un personaggio inventato per lanciare canzoni”.

sabato 8 dicembre 2012

Volevo ricordarti che l'amore è rimanere… Non è sparire, per vedere se uno poi ci tiene.

mercoledì 5 dicembre 2012









http://soundcloud.com/impydj

DIVINITY IDENTITY!

J'ai craché le sang pour devenir une icône. Il devait être cazzo parfait tout. J'ai jeté millions pour être parfaite et devenir Lola Kola. Tout calculé au millimètre. Non plus un pli. Chaque sortie un événement. Je maquille parfait, cheveux parfaits, habits fabuleux, accessoires que je te dis même pas tout ce qu'ils coûtent à la production, un tintamarre de chose pour chaque sortie que tu soutiens seul si tu es un taureau mécanique. Pas une qui quand il entre tu te retournes, tu tours après, premier tu dois buttà par terre à prier quand j'apparie. Comment na bergerette dans une grotte. Parfaite. Une Sainte Vierge qu'en il n'a pas plus fait jamais de drapeau de sa virginité, Plus de hampes que de drapeaux, donc tu peux t'amuser un pochetto après. La Révolution du style, de l'élégance et de la beauté et transgression au portar voie. Toute une équipe de savants qu'il me suit, parce que je ne pourrais pas tout seul, une garde du corps, deux avocats, une sorcière, un metteur en scène, un psychologue un entraîneur, un truccatrice, un fantastique Liuc, un Roi, un petit prince et deux trafiqueur, qu'ils me servent pour soutenir tous les autres. Un enfer digne d'Amy Winehouse,ma six lola kola et tu n'es pas de moins. Au moins en fait de drogues démoli ou vous tirez sur. Une vie que je ne te dis pas. Photographes guettés sous maison jour et nuit. Génies du goût qui me conseillent que mettre quand je n'ai plus rien à mettre, chose manger, chose boire le matin, avec chose servir un gâteau de poires et funghetti hallucinogènes, comme devenir la reine de la nuit, comme faire s'emporter les videurs de la vache seul parce que les hommes forts te plaisent, et ce sont les seuls mâles là-dedans, chose dire dans les interviews, comme me mettre dessous les lumières pour faire sembler que je sois sous le soleil de mattina,ma il est nuit sur le set. Belle comme le soleil, Le soleil qui ne vois pas pourquoi tu te réveilles à 6 heures de soir, tu te réveilles et tu as encore l'habit du soir prima,e tu trouves à côté seulement un verre de whisky que tu n'as pas réussi à boire avant de t'endormir. Heureusement sans mégots tu le bois ainsi le matin suivant, pour envoyer les hormones et les pastilles en bas à la cerise. Tu te réveilles et la chose unique que tu te consoles il est que tu es la splendide blonde du soir précédent. Et aussi si tu n'es pas splendide, tu Resplendis. Entre temps tu es blonde. Belle que tu ils devraient pagà, en effet quelqu'un a payé et quelqu'un est en train de payer encore. Si tu veux faire l'icône tu dois être blonde. Tu n'es pas tu que tu décides, ce sont les gay. Ils sont ils qu'ils décident si tu es une icône ou tu vas piocher les cerises. J'étais connue avant aussi, seul dans les rave ou dans les privè cependant. J'ai toujours existé. Mais un jour décidé de changer et de vouloir devenir célèbre. Et je portai lola dans les gay locaux. À eux la tranche meilleure de mon succeso va, et eux le savent. Il y a pour eux quand il sert, ce sont une déesse mais je ne suis pas bandée, je nous vois très bien, je devine si ils souffrent si ils sont amoureux si ils sont heureux, si je peux faire quelque chose aussi fosses seules offrir un drink si ils ne peuvent pas. Ce sont une femme de spectacle, je dois être spettacolare,ma je n'embrouille pas, je n'escroque pas, je ne cherche pas à vivre et celui-ci le public l'entend. Et si tu feins six fottuta. Et je ne veux pas. J'ai amour pour tous, je n'aime pas comme on peut, hameçon comme soi doivent. Qui me connaît il le sait vraiment. J'ai réveils en feu pour mes amis qu'ils ont talent et de temps en temps je le pardonne, je souffre avec eux. Ils ne sont pas un qui pleure seulement pour soi, ils me fument les coglioni si je vois que tu souffres. Et s'il tu es heureux ils sont avec toi. Il y a pour te,se je peux faire quelque chose il y a, je suis bon à piocher. Celui-là j'ai appris du Roi. Eccerci. Comme on doit. Et puis lui que le prestidigitateur de la fuite.. Je sais mignonne aussi avec ces rompicoglioni qu'il veut savoir chaque fois chose il me démange dans les slip qui n'aura pas celui-ci en ni celle-là, donc que tu veux savoir. À eux je demande conseil pour tout. Ainsi avec tout mon engagement de Que Guevara continue la lutte armée. Heures de backstage premier d'un sfilata,giornate long sur les sets, preuves de douze heures pour faire sanremo. Tu descends les escaliers tu Montes les escaliers, tu fais le ballet il essaie le passage tu Fais les photos les conférences. Il essaie les feet il essaie maquillage, preuve un technicien pendant la pause. Entre temps à maison derrière la vedette il épointe la femme. Tu gères une paire de maris deux filles les dîners la pâte à la règle cuisinée et cantate. Une vie que parfois il peut sembler splendide. Mais il est pas toujours. Mais tu si,sei splendide écrit les journaux. Les photographes sont fou de t'avoir. Et en effet quelqu'un t'a eu comme on doit. Pas comme soi il peut. Et puis un soir avec un habit à fior de perroquets débouché à l'art, ibiscus entre les cheveux sandaletti de Yves, belle et fabuleuse, tu vas à un party. Euphorie, le party du pride. Tu devais être là nous même pas. Le cas a encore une fois décidé. Et tu vois quelque chose. Et tu comprends que tu as raté tout au niveau d'image, que tu es presque rien. Et tu voudrais être ainsi, exactement ce qui vois. Et tu voudrais avoir les moustaches. Les moustaches? Mais il est maintenant tard, il dit mon endocrinologue, le docteur qui me suit, heureusement pas aux after. "Tu dois te contenter et rester Lola", il me dit. Il est maintenant tard, et tard il se fait de plus en plus. Tu commences l'épisode qui es dans le découragement, tu ne sais jamais s'il y a tu la feras et au soudain elle est finie. Et comme si le retard ne suffisait pas, tu dois te régler que nous devons passer la ligne au journal télévisé ils nous nuancent sinon. Nous sommes en ce soir nous retardassions. Salue-vous je vous remercie d'avoir été avec nous en ces jours de kermesse de fleurs et chansons.. À l'Année prochain.. Beaucoup de bonheur à vous!

Sigle!

Buenas tardes amigas.. bienvenidas en el espacio de Lola Kola, con el kappa en cambio, no con el c. ¿Un espacio en que en pocos minutos os daré consejos elegantes y extravagantes sobre como se pueda sobrevivir cotidianamente y volverse verdaderas mujeres.. como ser las indiscutidas protagonista de los parties de vuestra ciudad? quien me sigue lo sabe.. he escupido la sangre para convertirse en lola kola. Todo perfecto. Tampoco un error. Lola kola siempre ha existido, sólo que frecuentó o rave o locales a empinado contenido erótico.. pero un día decidido querer convertirse en un icono y bastó con aparecer en los locales gay y el juego vino solo.. la única cosa que modifiqué fue hacerme a rubia y vestir el mínimo indispensable.... es inútil las rubias tienen un ascendiente sobre los gay extraordinarios y soy ustedes que deciden. ¿A su va la rebanada mejor de mi éxito, no ellas existiría sin Si eres una diosa o vas a recoger las cerezas les son a decirlo.. y fui proclamado yo cosa de una estación una estrella.. el resto fue gracias al sentido único que tengo en el stile,nella clase y en mi modo de ser.. la única vez que todo esto semejó derrumbarse me arrimo fue el encuentro con xxxxxx al party del pride.. y entendí en un instante que construí poco o nada a nivel de imagen, y sólo después de meses de llantos, psicoanálisis y luchas con mi endocrinólogo he puesto una cruz sobre al hecho de no poder tener sus maravillosos baffoni de domador de leones.. mi inmenso amor por él es qué nota a todos los tabloides, pero el dinero mejor los hemos hecho con las exclusivas sobre vanity fair.. Como hacer sexy y audaz un vestido, tomado la estación anterior tomada por la locura de bon ton? Nada más simple para una mujer genial como yo.. basta con a menudo desenfundar los vestidos en georgette en encaje haciéndolos muy sexy.. este odio por las fundas es mi privada revolución. Los llevé yo mismo. me avergoncé a veces de ello, estuve de veras demasiado desnuda, pero hace falta creernos por estrenos en las mismas revoluciones aunque a veces demasiado adelante, también Chanel pienso se sintiera de sólo ser tomada por un poverella porque sacó las chochas de los sombreros de las señoras de su tiempo.. Una gran maestra por mí madamoiselle Coco.. apuros a llamarla señoras. por lo demás de estas partes cada uno hace sus revoluciones. en cuyo o triunfa o muere. ¡Nosotros triunfamos! ¿Qué vestir cuándo no se tiene más nada que vestir? Nada o poco habríamos contestado. Si no tienes que nada más vestir no vestir nada. ¡Y fácil y de gran efecto! ¿Cómo devolver funny y divertido un simple arroz? Después de mucha moda también habríamos hablado de cocina.. las ideas fueron muchas.. de mi arroz con coco pintado que está ya en este blog, al arroz con los champiñones holandeses, aquellos alucinógenos.. infundo es tan fácil devolver funny y divertido un arroz no?Solo en segiuto llegó la propuesta de sólo hablar de cocina inspirándoseme en las otras divas y colega. ¿Y la mañana cosa beber? ¿Empieza La mañana por nosotros a las 16.. por lo tanto dos shortini de vodka a desayuno por buttar abajo las hormonas son más que suficientes.. Y cosa vestir al próximo baile de las debutante, y si ya habéis debutado? ¿Con éste sólo buscamos después de muchas extravagancias hacer pasar por de las buenas chicas.. habríamos contestado que ya fuimos bonitas y debutáis sin nada que vestir y conocéis la respuesta.. ES sobrevivir como en un modo poblado de machos que os zumban alrededor? ¿Y cuándo es el macho de otra? Ningún macho que os zumba alrededor es de otra.. si el mascho tiene un su otros problemas. ¿Se lo tiene como elección su, la defienda él.. Y cuándo el macho sois vosotros? Y cuando el macho sois vosotros, queridas amigas no os queda que hacer el macho, y sólo al último episodio os habría confiado un secreto. Qué ya no es un secreto. Con estas simples palabras inició mi ascensión mediática de que soy hoy la reina incontrastable sin haber contestado nunca a una pregunta.. En este format presenté mi infalible fethish compras bag. un patrón de un shopper de supermercado retraducido en vinilo y tachas... un cult por años de lola kola. El fetish es un personal tributo mío a mi heroína Christiane f.. en la escena en que va a bailar con el bolso de plástico por el cambio zapatos, de aquellos fitness al sandaletto argentado fin 79.Un genio. ¿Me ha conquistado y por un po le he tomado la idea.. luego sólo lo he desenvuelto, estuve cansada en italia de siempre sentirme preguntar qué hubiera tomado al supermercado.. al final del episodio hablo de cubica.. no está claro por qué no he tenido nunca el tiempo de concluir.. Os he contado ya cuándo por deseo de anonimato fui a cubica y en cambio descubrí que Fidel habló de mí a su popolo?e cuándo quiso encontrarme me preguntó si me gustara el Havana? Ciertamente comandante, contestó, ya he bebido hoy de ello dos botellas.. vamos bien contestó.. beh en todo caso ésta es otra historia.. os la cuento luego.. a jueves próximo
¡siglaa!
 
 
 
He empezado a escribir para ser más claro posible. Las palabras o el silencio no me fueron de gran ayuda, sobre todo cuando no quieres ser escuchada. Y encontrarse a hablar solo bajo la ducha y llorar no es de gran ayuda.. y acabar cada botella que encontré al alcance hizo el resto..
He quedado por lo tanto tiempo solo en silencio y he sido tomada y dejada sin tampoco un adiós.. he aprendido solo todo.. he trabajado solo sobre mis lutos y mis infiernos.. he dado noches enteras a llorar con el miedo de tener miedo. He sido mi doctora.. me he dado fármacos, de los tiempos y de los plazos y una cura.. Usted cosa más divertida quedan los fármacos pero. He tenido que encontrar el remedio al ligero dolor que sentí quemar en el estómago como una cuchillada o un disparo con el silenciador..

el corazón en gola!

Cuando escribo que he tenido que aceptar con el macete, hablo de éste. Y después de serme ralea en pequeños trozos tengo que superar el horror de mis errores, y deberlos hacer perdonar. Como ayer. Pierdo la cabeza, y me pongo vulgar. Pésima tú dirías. Como otros lunes de un tiempo. Pasados por suerte aquellos lunes. Como haces a exigirme después, queda un misterio. Un lola que no voglio,che no quieres tampoco de vez en cuando tu,ma vuelve. A veces en público luego. No tengo palabras por mí. Sólo sonidos. Una alegre risotada o una bofetada sonora. O me hago reír o me hago llorar. O escupitajos. Aquéllos que me llegan justamente en el mojito. O viejas imágenes de un tiempo. Tú que vas fuera y yo que quedo allí sorda muda. Dejamos perder và. En cosa logro ponerme solo no se sabe. Algunas imágenes pasadas de excusas ya dichas, ya oído, y tú que los quedas. Nadie se desplaza. Eres gran amur. La respuesta mejor. Tu dulce silencio. Y también el no mi. Éste es ya salir de ello. Detestas la vida privada que se convierte en público. E incluso yo. Pero esta vez me lo merezco. Errores pubblici,scuse públicos. Y luego es un modo otro como para escribir. Quizás me hace bien. Ya ti he escrito de. Un montón de páginas. De cuando aquella tarde fui como un gato mojado y tuve frío. Vine de frío del fin. Ningunos amor casa fiestas drogas perro amigos cenas. Nada. De común acuerdo para dejarme con quien sayas. Nos dejamos un tarde. Él durmió. Yo pensé. Pensé que habría tenido que dejarlo. Creí hacer un café y dejarlo después. Cuando se se despertó nos repensé, pensé que todavía quise continuar el juego aunque se puso difícil. Peligroso por ambos. Fue tan bonito. Un hombre de sangre y piedra. Nunca una opinión reprocesada nunca un cálculo en decir las cosas y músculos verdaderos. De verdadero trabajo. Dos hombros nunca vistos antes, aptas a llevar una cruz. Yo. Lo que me gusta en un hombre. Y luego un humor raro. Cuando jugó con el perro o con los niños se paró el corazón. Qué no tengo. Bonito amur. Un adulto. Lo sabes luego. Luego aquella tarde me dejó él. Tuvo ragione,per los mismos motivos con los que yo lo habría dejado, yo lascò, se dejó así de común acuerdo. Y nos dejamos sin os haber tomado nunca. La casa a él, a mí el resto. Nada. Después de algún tiempo te encontré. Y fuimos al after. Y así correspondió todo. Volvieron las cenas los amigos las fiestas las drogas los besos y los puñetazos. Con el verano llegó la revolución. En cuyo fuiste el comandante. Y yo la Maria Antonia de una revolución que no quise. Alguien nos repuso la vida alguien el triunfo. Como en cada revolución a la que somos destinados. En cuyo se moja de las mismas lágrimas. Es esperado como sobre la puerta a una mujer del sur que espera a su hombre que vuelve de los campos. En el luto de siempre. Y volviste con los frutos. Y también aquella revolución fue. Y las otras también fueron. Todo vencidas. En efecto estamos aquí. Como ayer. En todo caso aquí. Todavía. Aquél es el misterio que se vuelve a veces magia. Siempre hay la revolución cuando escribo. He llorado por horas sobre la carta de Qué a Fidel. He hecho de ello una bandera un verano. Cuánto pasión en una revolución. Cuánto fatiga. Qué hombres cazzo,che comandantes. En éste eres un esempio,comunque vaya. El ejemplo de quien vuelve de la frente con el aire que vuelve de los campos. Y el fruto que llevó es mi corazón en garganta. Y luego yo partí por la mía. Y volví con mis flores heladas en invierno y muertos en otoño. Y nosotros volvimos. Y acabamos en cubierta. Besos y abrazos por las grandes vueltas. Nuestras fotos más bonitas. Un lola bella,bionda y positiva y como una reina junto a su rey. Y tú manos de hallar y ojos de rever. Otro de los Reyes. Luego yo hice un talent espectáculo y tú una pequeña parte en una película. Nos llevó bien aquella vuelta. Llegó el verano y tú hubiste. Todos los días y las tardes. Como el sol y las estrellas. Y las albas que tuvieron un punto negro. Y yo le tomé y las abarquillé como una hoja y las arrojé al muro. Ningún defecto tiene que tener El alba. Como el alma. Tampoco un pliegue. Y esta idea te gusta. La has cogido y apostada. Lo he notado. Siempre he notado que me sigues. Me gustas y me lees. Y luego repartí. Esta vez Sanremo. Y también ellos has habido. En la confusión de las flores te sentí. Y yo estuve en escucha. Nuestras historias tienen palabras mejores de las nuestras. Basta con escucharla. Y aquella historia funcionó. En efecto funciona. Una clásica canción de sanremo que pero funciona. En efecto ha vencido. Y luego el olvido. Así vivimos de esta parte del rivoluzione.Della canción. El sessantasessantaennessima edición del festival de la música italiana. Grandes vueltas de vals y vuelos de colombi. Como al circo. Este nuestro. Qué cada tarde llevamos por ahí. El gran circo delante de los bares.. Cogéis a puestos señores. El circo de los freak. El mío el tuyo y aquellos del espectáculo de ayer. La mujer barbuta,L'uomo squalone y el equilibrista. Yo me he exhibido en un miserable piece. Tú no. Has sido grande. Mucha clase. Después de mi espectáculo he ido a camerino a tomar que beber. Y tú a mi vuelta nos has escupido dentro, Yo no tengo palabras por nosotros. Sólo buenas noches. Vosotros ringrazo de la tensión. A sábado próximo..

¡Siglaa!

UN OTRA KOLA!

He escupido la sangre para convertirse en un icona. Tuvo que ser todo perfecto cazzo. He echado millones para ser perfecta y convertirse en Lola Kola. Todo artificioso al milímetro. Tampoco un pliegue. Cada salida un acontecimiento. Treta perfecta, pelo perfecto, vestidos fabulosos, accesorios que izquierdo te digo cuánto cuestan a la producción, una bulla de cosa por cada salida que sólo sujetas si eres un toro mecánico. No uno que cuando entra te vuelves, tú vueltas después, primera tú tienes que buttà por tierra a rogar cuando pareo. Cómo na pastora en una gruta. Perfecta. Una Virgen que en más no ha hecho nunca una bandera de su virginidad, Más astas que banderas, por lo tanto después puedes entretenerte un pochetto. La Revolución del estilo, de la elegancia y de la belleza y transgresión a portar calle. Toda un equipo de científicos que me sigue, porque solo no podría, un guardaespaldas, dos abogados, una bruja, un director, un psicólogo un entrenador, una maquilladora, un fantástico Liuc, un Rey, un pequeño príncipe y dos trapiches, que me sirven para sujetar todos los otros. Un infierno digno de Amy Winehouse,ma seis lola kola y no eres de menos. Al menos en hecho de drogas echado abajo o tiráis sobre. Una vida que no te digo. Fotógrafos acechados bajo casa día y noche. Genios del gusto que me aconsejan cosa vestir cuando no tengo que nada más vestir, cosa comer, cosa beber la mañana, con cosa servir una tarta de peras y champiñones alucinógenos, como llegar a ser la reina de la noche, como hacer sólo enfurecerse a los gorilas de la vaca porque los hombres fuertes te gustan, y ellos son allá dentro los únicos machos, cosa decir en las entrevistas, como ponerme bajo las luces para hacer parecer que esté bajo el sol de mattina,ma es noche sobre el plató. Bella como el sol, El sol que no ves por qué tú despierto a las 6 por la tarde, tú despierto y todavía tienes cerca el vestido de la tarde prima,e sólo encuentras un vaso de güisqui que no has logrado beber antes de dormirte. Por suerte sin chicles así lo bebes la mañana siguiente, para mandar abajo las hormonas y las pastillas a la cereza. Tú despierto y la única cosa que te consuelas es que eres la espléndida rubia de la tarde anterior. E incluso si no eres espléndida, Resplandeces. Mientras tanto eres rubia. Bella que tú deberían pagà, en efecto alguien ha pagado y todavía alguien está pagando. Si quieres hacer el icono tienes que ser rubia. No eres tú que decides, son los gay. Soy ustedes que deciden si eres un icono o vas a zapar las cerezas. Incluso fui conocida antes, sólo en los rave o en los privè pero. Yo siempre he existido. Pero un día decidido de cambiar y de querer ponerse famosa. Y llevé lola en los locales gay. A su va la rebanada mejor de mi succeso, y se lo saben. Ellas hay por cuando sirve, soy una diosa pero no soy vendada, nos veo muy bien, intuyo si sufren si están enamorados si son felices, si puedo hacer algo fosos también solos ofrecer un drink si no pueden. Soy una mujer de espectáculo, tengo que ser spettacolare,ma no engaño, no estafo, no tiro a ir tirando y este el público lo siente. Y si finges seis fottuta. Y yo no quiero. Tengo amor por todo, no quiero como se puede, anzuelo se debe como. Quien me conoce de veras lo sabe. Tengo despertares en llamas por mis amigos que tienen talento y lo perdona de vez en cuando, sufro con ellos. No soy uno que llora sólo por si, me fuman los cojones si veo qué sufres. Y si eres feliz lo soy contigo. Hay por te,se puedo hacer algo hay, soy bueno a zapar. Aquél he aprendido del Rey. Eccerci. Como se debe. Y luego él, que el brujo de la fuga.. Sé bonita incluso con aquellos rompicoglioni que quiere saber cada vez cosa me pica en los calzoncillos, que no tendrá tan de ello este ni aquel, por lo tanto que quieres saber. A su pregunto consejo por todo. Así con todo mi empeño de Qué Guevara continúa la lucha armada. Horas de backstage antes de un sfilata,giornate largo sobre los platós, pruebas de doce horas para hacer sanremo. Bajas las escaleras Subes las escaleras, haces el ballet prueba la pieza Sacas las fotos las conferencias. Prueba los feet prueba treta, prueba un técnico durante la pausa. Mientras tanto a casa tras la diva la mujer brota. Administras a un par de maridos dos hijas las cenas la pasta a la norma cocinada y a cantata. Una vida que a veces puede parecer espléndida. Pero no siempre lo es. Pero tú si,sei espléndidos escriben los periódicos. Los fotógrafos se vuelven loco para tenerte. Y en efecto alguien te ha tenido como se debe. No como se puede. Y luego una tarde con un vestido a fior de loros destapado a arte, ibiscus entre el pelo sandaletti de Yves, bonito y fabulosa, vas a un party. Euforia, el party del pride. Izquierdo tuviste que estarnos allá. El caso ha decidido una vez más. Y ves algo. Y entiendes que has equivocado todo a nivel de imagen, que eres poco o nada. Y querrías ser así, exactamente lo que ves. Y querrías tener los bigote. ¿Los bigote? Pero ya es tarde, dice mi endocrinólogo, el médico que me sigue, por suerte no a los after. Tienes que contentarte y quedar "Lola", me dice. Ya es tarde, y se hace cada vez más tarde. Empiezas el episodio que estás en el desaliento, no sabes nunca si hay la harás y a la improvisación es acabada. Y como si no bastara el retraso, te tienes que despachar que tenemos que dar si no la línea al telediario nos esfuman. Somos en retardáramos esta noche. ¡Os saludo os agradezco haber estado con nosotros en estos días de kermés de flores y canciones.. A. el año próximo.. Mucha felicidad a vosotros!

¡Sigla!

la tigre con Matteo Colombo!

Eh cerdo de mí.. esta noche me nos encuentras.. como estoy como estoy..

Como una tigre de circo.. en su jaula de circo.. En su circo.

A veces vago como perdida, a veces soy perdida de veras. A veces me doy solo miedo.. tampoco el espejo me refleja.

En raros días semejé ser hasta feliz.. parecí.. como si de lejos llegara un soplo de vida ligera. No estuve nunca sola en aquellos momentos.

E increíble, siempre he tenido la lucidez de querer a estrella sola, siempre lo he sabido.

Como siempre he dado por deducido de haber nacido estéril y que ningún ser humano me habría sido nunca complementaria, y soy crecida en cautiverio.

Soy casi incapaz a vivir si no junto a mi domador, pero a diferencia de otras bestias no han estado nunca junto a él. Pertenecer es un concepto que he entendido después. A veces mucho después.

La tigre de mi circo estoy sola, nata entre las jaulas del circo.

El instinto de devorarme ha quedado, pero me doy solo pena, tengo los ojos perdidos y rugido ronco... y vago lenta.

Qué sentido tendría unir mi alto rugido a este gorjeo que siento luego…

Velo enseguida, algo le darán para tenerla así calma y calda…Il G, las luces, los aplausos, con la música parece que rujo que dar miedo, pero sólo enseño los dientes, quizás sean bostezos de aburrimiento…

Sin embargo el temono…Se le giran los cojones, que tiene todavía, arranca un brazo al domador.

Pero yo habría perdido, nadie se fiaría más que yo, quedaría más sola que así. ¡Y luego con él he hecho grandes espectáculos.. Y él que la puerta en escena!

Estuve tan segura de haber escrito mi historia, en cambio nada. La busqué desesperadamente pero no vino fuera que alguna página. Y tampoco me percaté que ya estuve sin domador, e incluso sin jaula y entonces adiós a mis espectáculos. Quedé dique en mi camerino. Sólo sentí de lejos el ruido de las jaulas que vinieron durante el intervalo del primer tiempo sobre. Entendí que el fue mi momento. Me volví loco..

Soy una tigre de espectáculo, tengo que ser espectacular.. Vanidosa como soy luego..

Nunca habría ido en escena imperfecta, nunca sin mis nuevas cuñas de Galliano, sólo me volví loco a mirarle. Abatanas aquellos zapatos, supe que John las creó pensando en mí.

Y si el domador olvida de darme los calmantes ellos tomo solo.. golosa como soy..

¿Allá fuera el alegre famigliole acudió al circo comieron palomitas y bebieron coca cuela, pero entendieron que al final del intervalo algo misterioso y peligroso habría aparecido... de otro modo que necesidad fue de metter sobre jaulas tan altas?

Eh se caria, por alguien todavía es peligrosa este aquí, todavía capaz de hacer saltos de altura, saltar más allá de la jaula y devorar los humanos en primera fila..

¡AhAhAhAh.. see, fuera estúpida! Fíjate si gasto el tiempo a comerlos y mandar a puttane mi espectáculo. Del resto el puttana sería yo.

Pero mejor así, mejor un puttana profesional que un troietta de discoteca. Qué no merece una mención. ¡No sabe tampoco cuánto vale!

Tampoco la novia fue un papel que le gustó. No lo fue nunca. Le pareció el papel peor. Prefirió saber y compartir como a una mujer libre, una amiga, el amante... aquél quiso ser. O bien mejor un macho como ellos, más listos.

Y nos tengo a mi espectáculo. Tarde después de tarde he ido en escena, cada vez mejor. Hago mis saltos en el círculo de mi fuego, escupitajo el veneno. La mujer con los bigote, aquel cañón, aquél serrado a metà…e el número de los cuchillos... mucho si el domador se equivoca hace nada, simula morir, simula rugir.

Y cuando le sucede a estos bonitos famigliole de ver una bestia del género.. así compleja físicamente.

La última barrera de superar, el último taboo de desvelar.

Tatuada y descolorada a mano.. Única. ¡Venghino señores, venghino!

Así bonita de ver, y llena de un amor tan verdadero de quererla ver de cerca.

Y así con el último chasquido de látigo, el aplauso y un po de reverencia, el espectáculo parece haber llegado al término. Pero el circo tiene sus reglas, la gente satisfecha para verte de cerca. Eres tú la reina del espectáculo.

¡Sabes a quien puede fregar ya de una mujer obesa o de un enano! Y tan generalmente, para no darle miedo, él avvinano en grupos. Generalmente los padres son los que se acercan de más. Son las tuesta, las mamás no. Los críos tienen, un paso atrás. Por miedo que los comes..

Sin embargo son las mujeres con que a menudo se hace mejor compañía. Usted sonríe. Tiene simpatía para los niños y ellos por ella. Quizás porque son parecidas. Bestias de tirar sobre, entre ellos se entienden. Con algunos de ellos tiene a uno extraño diálogo. Bastó con hablar simple y claro. Cosa que no le logra con los adultos. Nunca exagerar pero. El sentido del peligro tiene un tiempo breve. Así, devueltos los críos a las madres, sólo los más fuertes arriesgan. ¡La tigre quieren verla más allá de las jaulas! Y así algún toro se acerca a la tigre. Y así el espectáculo se convierte en un session para hombres no tanto solos, pero tan hirvientes. Siempre soñé con poder hacer espectáculo del género. No nos encontré nunca nada de mal. Hace falta atravesar las cosas para comprenderle de veras. Entre todos los papeles de una mujer, el puttana y la santa fueron los que los se convinieron mejor. La novia y el mamma,invece, papeles que no las permitió ni el estado ni la naturaleza. Y por lo demás mejor ser los puttane de estos hombres que sus novias, consideradas aquellos que las contaron ellos. Y si no fuera que les son a venir a domicilio. Y si no fuera que les son a venir a domicilio y barrerme y pagarme por este no sé justo que apetitos podría tener al momento. Pondría alma en cualquiera revolución, pero no nosotros ni uno de ello la otra. He puesto los sueños en el cajón, cerca de los calzoncillos, pero no los encuentro. Los calzoncillos él. Bonitas. Me sirven para éste que vienen. Adoran la ropa. Sé finos. No se sabe quién es peor. Si ustedes o nosotros que ellos damo puros de escoba. Y así algún toro se acerca a la tigre. Cambio escena y así el espectáculo se convierte en un session para hombres no tanto solos pero tan hirvientes. Siempre soñé con poder hacer espectáculo del género. No nos encontró nunca nada de mal. hace falta atravesar las cosas para comprenderle de veras. Entre todos los papeles de una de una mujer que he interpretado el puttana y la santa fue aquellos que los se convinieron mejor. La novia y la mamá un papel que no las permitió ni el estado de ello la iglesia. No somos tan diferentes infundo de los otros donne,solo que a nos nos pagas.. y así al final del espectáculo en vez de vestirme tocó rispogliarmi, medias autoreggenti, string en encaje, babydoll. No a la barra de labios porque mancha él a un pò de rímel. Un gran fetish espectáculo por solos hombres. Y estos hombres pagan por un hora de ligereza. Y de cazzo. E hice el amor, y me gocé el vita,e el resto. Tanto sólo volvieron porque la encontraron diferente, luego todo tatuada fue una plusvalía. Rubios ojos verdes tattoo, segundo carácter, dieciocho cm. Éste dijo todo el día a quien llamó. "vienes entretenemos un pò". Ellos la encontraron bonita. Y se los descubres de ser una transexual. Y éste es nuestro espectáculo. Acabada la ilusión de la escena se vuelve a jaula. Habría bastado un aplauso. Y el infierno continúa. Y a pesar de que viviera sobre la tierra entendió que algo llegó de lejos, y ella esperó. Antes o después sería tenido que incluso llegar el fatídico día del juicio universale,le dijeron y que todo habríamos encontrado al "Dios", de que no conoció tampoco el cognome,ma ella no tuvo antes o después prisa glie habría dicho cuatro de ello, sesión frente a él fue justo curiosa de sentir sobre qué vertisse la conversación... y al final él, la habría hablado.. vaya modo fue tratar la tigre, echada aquí abajo y luego abandonada.... y habría sido luego ella a mandarlo al infierno. He aquí como estoy.

¡Siglaaa!


 

 

 

 



 

 

 

 

 

 


 

 

 
Sono rimasta per tanto tempo sola in silenzio e sono stata presa e lasciata senza neanche un addio..ho imparato tutto da sola..ho lavorato da sola sui miei lutti e i miei inferni..Ho passato notti intere a piangere con la paura di avere paura. Sono stata la mia dottoressa..Mi sono data dei farmaci, dei tempi e delle scadenze e una cura..La cosa più divertente rimangono i farmaci però. Ho dovuto trovare il rimedio al leggero dolore che sentivo bruciare nello stomaco, come una coltellata o uno sparo col silenziatore..

Ho cominciato a scrivere per essere più chiara possibile. Le parole o il silenzio non mi erano di grande aiuto, soprattutto quando non vuoi essere ascoltata. E ritrovarsi a parlare da sola sotto la doccia e piangere non è di grande aiuto..e finire ogni bottiglia che trovavo a portata di mano faceva il resto..

SENZA CUORE ELIO CASTELLANA

http://youtu.be/xcaXsvVPw5M

Amiche di qualunque sesso, senza religione e razza.. Buonaseraa.. Benvenute ad una nuova e speciale puntata di Una diva in cucina in compagnia di Lola Kola..San Valentino è alle porte e visto che tante come noi  un po’ d’amore riescono a provarlo da sole e solo grazie all’assunzione di sostanze stupefacenti questa settimana cucineremo insieme le mie famose..

SAN VALENTINE’S CANDY

Ricetta per 1oo pasticche

Se avete un laboratorio sarebbe l’ideale!

Mescalina 30 gr

Morfina 1 dose di 20 gr.

Md attivo 30 gr

Anfetamina 10 gr.

Altro 1o gr

A  volontà potete aggiungere a scelta o altri stupefacenti di vostro gradimento o aggiungere più grammi di md attivo e meno di morfina se amate quel gusto di pasticca di Berlino.. Se aggiungete eroina siete più golose di noi. Complimenti!

Per questa ricetta ringrazio su tutti il mio amico dei giochi   Andrea Z. per i preziosi consigli e i giochi.

Mentre vi preparate a scaldare gli ingredienti passo  la linea alla regia solo per un attimo..

Da noi non ci sono consigli per gli acquisti né sponsor, siete grandi abbastanza per comprare da soli le vostre favolose  insulse stronzate di dubbio gusto e visto che con l’aria che tira siamo rimaste pure  Senza cuore.. a voi un corto dalla regia di Elio Castellana..

A voi regia e a tra poco con la ricetta!

 

 

Amiche buonaseraa.. benvenute ad una nuova e speciale puntata di Una diva in cucina in compagnia di Lola Kola..

 San valentine’ s candy

Ricetta per 1oo pasticche

 

Mescalina 30 gr

Morfina 1 dose di 20 gr.

Md attivo 30 gr

Anfetamina 10 gr.

Altro 1o gr

A  volontà potete aggiungere a scelta altri stupefacenti di vostro gradimento

Volendo potete aggiungere più grammi di md attivo se amate quel gusto di pasticca di Berlino ..di solito ci piacciono entrambi le cose. se avete un laboratorio sarebbe ideale!

Mentre voi rimanete pronte a scaldare gli ingredienti passo solo per un attimo la linea alla regia. Giusto il tempo di un corto. Da noi non ci sono consigli per l’acquisto né sponsor..e siamo senza cuore..di Elio castellana a dopo.

 

 

lunedì 3 dicembre 2012


 RISO AL COCCO BLU, A FORMA DI PESCE

Ingredienti

4 amici

500 gr di riso parboiled

1 cipolla

olio d’oliva

175 litro di latte di cocco

 sale

formine in plastica da spiaggia per bambini

colorante alimentare

e su tutto l’ingrediente segreto di lola…l’amore. Quando basta, ma a noi non basta mai!
La ricetta va realizzata come un semplice risotto. Scaldare l’olio con la cipolla. Quando la cipolla e dorata aggiungere il riso. Mantecare, poi aggiungere il latte di cocco. ora ci sono 2 modi. O  giochi a fare la sciura di Milano e stai li a girare il risotto finche tutto il latte di cocco sia assorbito o fai la brasiliana. Non giri nulli,copri con un coperchio e aspetti finchè il latte non si  sia assorbito completamente da solo. Facile, a  questo punto il risotto è pronto. Lasciare raffreddare per qualche minuto. Poi aggiungi il colorante. Il blu è il mio preferito. Versi nella tua formina  preferita e la capovolgi nel piatto di portata..ideale come contorno al pollo al curry.
Amiche è ovvio che la bellezza del della presentazione del cibo equivale alla sua bontà. Come noi. Cercate di servirvi come una cena, oltre buona da mangiare, anche bella da vedere. 

Ora è tutto pronto..

Vi auguro buon appetito e vi aspetto alla prossima puntata con la torta di pere e cioccolato.

Siglaa!

 

 

 

 

 

 

 

 

 

venerdì 30 novembre 2012


LA TIGRE


Eh porco d’io..stasera me ce trovi..come sto come sto..

Come una tigre da circo..nella sua gabbia da circo..Nel suo circo.

A volte vago come persa, a volte sono persa davvero. A volte mi faccio paura da sola..neanche lo specchio mi  riflette.

In rare giornate sembravo essere addirittura felice..sembravo..come se da lontano arrivasse un soffio di vita leggera. Non ero mai sola in quei momenti.

E’ incredibile, ho sempre avuto la lucidità di voler star sola, l’ho sempre saputo.

Come ho sempre dato per scontato di essere nata sterile e che nessun essere umano mi sarebbe mai stato complementare, e sono cresciuta in cattività.

Sono quasi incapace a vivere se non insieme al mio domatore, ma a differenza di altre bestie non sono mai stata accanto a lui. Appartenere è un concetto che ho capito dopo. A volte molto dopo.

Sono sola, la tigre del mio circo, nata tra le gabbie del circo.

L’istinto di sbranare mi è rimasto, ma mi faccio pena da sola, ho gli occhi persi e ruggito roco...e vago lenta.

Che senso avrebbe unire il mio alto ruggito a questo cinguettio che sento poi…

Lo vedi subito, qualcosa le daranno per tenerla così calma e calda…Il G, le luci, gli applausi, con la musica pare che ruggisco da far paura, ma mostro solo i denti, forse sono sbadigli di noia…

Eppure la temono…Se le girano i coglioni, che ancora ha, stacca un braccio al domatore.

Ma avrei perso io, nessuno si fiderebbe più di me, rimarrei più sola di così. E poi con lui ho fatto grandi show..E’ lui che la porta in scena!

Ero cosi certa di aver scritto la mia storia, invece niente. La cercavo disperatamente ma non venne fuori che qualche pagina. E neanche mi accorgevo che ormai ero senza domatore ,e pure senza gabbia e allora addio ai miei show. Rimanevo chiusa nel mio camerino. Sentivo solo da lontano il rumore delle gabbie che durante l’intervallo del primo tempo venivano su. Capivo che quello era il mio momento. Impazzivo..

Sono una tigre da spettacolo, devo essere spettacolare..Vanitosa come sono poi..

Mai sarei andata in scena imperfetta, mai senza le mie nuove zeppe di Galliano, impazzivo solo a guardarle. Folli quelle scarpe, sapevo che John  le aveva create pensando a me.

E se il domatore dimentica di darmi i calmanti li prendo da sola..golosa come sono..

Là fuori le allegre famigliole accorse al circo mangiavano pop corn e bevevano coca cola, ma capivano che alla fine dell’intervallo qualcosa di misterioso e pericoloso sarebbe apparso...altrimenti che bisogno c’era di metter su gabbie cosi alte?

Eh cari, per qualcuno è ancora pericolosa questa qui, ancora capace di far salti in alto, saltare oltre la gabbia e sbranare gli umani in prima fila..

AhAhAhAh..see, fossi scema! Figurati se perdo il tempo a mangiarli e mandare a puttane il mio show. Del resto la puttana sarei io.

Ma  meglio cosi, meglio una puttana professionista che una troietta da discoteca. Che non merita un soldo. Non sa neanche quanto vale!

Neanche la fidanzata era un ruolo che le piaceva. Non lo era mai stata. Le sembrava il ruolo peggiore. Preferiva sapere e condividere come una donna libera, un’amica, l’amante...quello voleva essere. Oppure meglio un maschio come loro, più furbi.

E ci tengo al mio show. Sera dopo sera sono andata in scena, sempre più brava. Faccio i miei salti nel cerchio del mio fuoco, sputo il veleno. La donna coi baffi ,quella cannone, quella segata a metà…e il numero dei coltelli...tanto se il domatore si sbaglia fa niente, fa finta di morire, fa finta di ruggire.

E quando gli ricapita a queste belle famigliole di vedere una bestia del genere..così complessa fisicamente.

L’ultima barriera da superare, l’ultimo taboo da svelare.

Tatuata e decolorata a mano..Unica. Venghino signori, venghino!

Così bella da vedere, e piena di un amore così vero da volerla vedere da vicino.

 E cosi con l'ultimo schiocco di frusta, l'applauso e un po’ d'inchino, lo show sembra essere giunto al termine. Ma il circo ha le sue regole, la gente paga per vederti da vicino. Sei tu la regina dello show.

Sai a chi può fregare ormai di una donna obesa o di un nano! E così di solito, per non metterle paura, si avvinano in gruppi. Di solito i padri son quelli che si avvicinano di più. Son tosti loro, le mamme no. Tengono i bimbi, un passo indietro. Per paura che li mangi..

Eppure sono le donne con cui spesso si fa meglio compagnia. Lei sorride. Ha simpatia per i bambini e loro per lei. Forse perché sono simili. Bestie da tirar su, tra loro si intendono. Con alcuni di loro ha uno strano dialogo. Bastava parlare semplice e chiaro. Cosa che non le riesce coi grandi. Mai esagerare però. Il senso del pericolo ha un tempo breve. Così,  restituiti i bimbi alle madri, solo i più forti rischiano. La tigre vogliono vederla oltre le gabbie! E così qualche toro si avvicina alla tigre. E così lo show diventa una session per uomini non tanto soli, ma tanto bollenti. Avevo sempre sognato di poter fare show del genere. Non ci avevo mai trovato niente di male. Bisogna attraversare le cose per comprenderle davvero. Tra tutti i ruoli di una  donna, la puttana e la santa erano quelli che le si addicevano meglio. La sposa e la mamma,invece, ruoli che non le permetteva nè lo stato, nè la natura. E del resto meglio essere le puttane di questi uomini che le loro spose, considerato quel che le raccontavano loro. E se non fosse che sono loro a venire a domicilio. E se non fosse che sono loro a venire a domicilio e scoparmi e pagarmi per questo non so proprio che appetiti potrei avere al momento. Metterei anima in qualunque rivoluzione, ma non ce nè una ne l'altra. Ho messo i sogni nel cassetto, vicino alle mutande, ma non li trovo. Le mutande si. Carinissime. Mi servono per questi che vengono. Adorano la biancheria. So raffinatissimi. Non si sa chi è peggio. Se loro o noi che li damo pure da scopa’. E cosi qualche toro si avvicina alla tigre. Cambio scena e cosi lo show diventa una session per uomini non tanto soli ma tanto bollenti. Avevo sempre sognato di poter fare show del genere. Non ci aveva mai trovato niente di male. bisogna attraversare le cose per comprenderle davvero. Tra tutti i ruoli di una di una donna che ho interpretato la puttana e la santa era quel che le si addicevano meglio. La sposa e la mamma un ruolo che non le permetteva nè lo stato ne la chiesa. Non siamo cosi diverse infondo dalle altre donne,solo che a noi ci paghi.. e cosi alla fine dello show anziché vestirmi toccava rispogliarmi, calze autoreggenti, string in pizzo, babydoll. No al rossetto perché macchia si a un pò di mascara. Un grande fetish show per soli uomini. E questi uomini pagano per un ora di leggerezza. E di cazzo. E facevo l’amore, e mi godevo la vita,e il resto. Tanti tornavano solo perche la trovavano differente, poi tutta tatuata era un plusvalore. Bionda occhi verdi tattoo, seconda naturale,  diciotto cm... Questo diceva tutto il giorno a chi chiamava. “vieni ci divertiamo un pò”.Loro la trovavano bella. E lei li scopri di essere una transessuale. E questo è il nostro show. Finita l’illusione della scena si ritorna in gabbia. Sarebbe bastato un applauso. E l’inferno continua. E nonostante vivesse sulla terra capiva che qualcosa arrivava da lontano, e lei aspettava. Prima o poi sarebbe dovuto pure arrivare il fatidico giorno del giudizio universale,le dicevano e che tutti avremmo incontrato il “Signore”, di cui non conosceva neanche il cognome,ma lei non aveva fretta prima o poi glie ne avrebbe dette quattro, seduta di fronte a lui era proprio curiosa di sentire su cosa vertisse la conversazione...e alla fine si ,avrebbe parlato lei..che razza di modo era quello di trattare la tigre, buttata quaggiù e poi abbandonata....e sarebbe stata lei poi a mandare lui all'inferno. Ecco come sto.

Siglaaa!